Au fil des 70 pages que contient le nouvel opus poétique de Ludovic Micheau publié par les Éditions Black Trombone, l’auteur propose des courts récits poétiques faisant penser aux différents stades d’une possible transmutation du verbe par la fusion possible du rêve et de la réalité.
Ici, pas de mortier d’agate. Seuls le cœur et la psyché se répondent. C’est peut-être précisément dans ce dialogue que se forme et se déploie l’Archipel de Ludovic Micheau.
L’engagement poétique n’y est pas feint, tout comme est sincère la musique qui plaque les mots sur la partition du sens. Parce que tout fait sens dans cette poésie ; le rythme, l’incantation, comme les invitations plus intimes à suivre les murmures de l’œuvre parfois comparables à des prières.
« Feu !
À peine d’un baiser
Et le monde dans nos mains
S’éprend de refleurir !«
À quand cette poésie chantée sous les riffs des guitares du groupe WoodRat Flat ?!
Black Trombone Editions https://blacktromboneeditions.com/ludovic-micheau